Comment intégrer le BDSM dans notre relation alors que je suis occupé par le travail et les enfants ?

Je suis heureux en ménage avec une belle femme et, au cours de notre relation, nous avons commencé à explorer le kink. Nous avons discuté de la chasteté et d'une relation dirigée par une femme, mais nous avons quelques problèmes.

Je travaille de nuit 6 jours par semaine et nous avons aussi un jeune enfant à élever. Le temps d'intimité est limité. D'autres personnes ont-elles des problèmes similaires ?

Comment pouvons-nous aller de l'avant en explorant une relation perverse et en incorporant le BDSM dans notre vie d'adulte ?

J'espère que vous serez rassuré d'apprendre que beaucoup d'autres personnes ont des difficultés à maintenir une certaine intimité lorsqu'elles fondent une famille ou ont des habitudes différentes. Et par intimité, j'entends kink, sexe "vanille", quickies, jeu - tout ce qui est sexuel. Tout cela est affecté par les changements de vie, le stress et les contraintes de temps.

Vous dites que vous venez de commencer à explorer le kink. Parfois, lorsque les gens sont excités par quelque chose de nouveau, ou qu'ils font moins de quelque chose qui, selon eux, les définit, cela peut conduire à la panique. N'oubliez pas qu'il n'y a pas de chiffre magique concernant le nombre de séances de kinking dont vous avez besoin pour être kinky. Déterminez simplement ce qui vous semble faisable pour tous les deux.

Il est essentiel de dire ouvertement ce dont vous avez besoin et d'écouter les besoins de votre partenaire. Essayez de programmer vos séances de manière à optimiser les moments que vous passez ensemble. N'oubliez pas de prendre en compte le temps de préparation, ainsi que les soins, les câlins, l'espace ou le temps de repos dont vous pourriez avoir besoin par la suite. Et n'oubliez pas de tenir compte des aléas de la vie. Si vous devez annuler une séance, vous pouvez la reprogrammer à un autre moment.

Je me demande si vous avez aussi des relations sexuelles et intimes non coquines ? Si ce n'est pas le cas, peut-être y a-t-il aussi un problème de connexion ou de communication ? Par exemple, l'un des partenaires peut avoir tendance à refuser les échanges d'affection/de plaisir parce qu'il se sent coupable de ne pas être prêt à le faire, tandis que l'autre peut craindre d'être rejeté s'il essaie de prendre l'initiative. Si c'est le cas, vous pouvez peut-être, pendant un moment non prévu, vous livrer à des échanges plus légers qui, vous en êtes tous deux d'accord, n'ont pas besoin de mener quelque part. Cela peut contribuer à améliorer la connexion entre vous deux.

Vous n'avez pas dit grand-chose sur ce que vous faites pendant vos séances. S'agit-il d'une scène qui prend une heure ou plus et qui nécessite une préparation ? Si c'est le cas, vous pourriez essayer de trouver des moyens de vous adonner au BDSM de manière moins intense et moins longue.

Si vous trouvez du temps pour du sexe "classique", vous pourriez peut-être l'adapter à une dynamique BDSM ? Vous dites que vous aimez la FLR et la chasteté, alors peut-être que votre partenaire pourrait vous dire quand vous pouvez jouir ?

Vous n'avez même pas besoin d'être dans la même pièce pour vous sentir contrôlés et/ou connectés ! Vous pourriez peut-être porter une ceinture de chasteté et/ou demander à votre partenaire de vous tenir au courant de toute pensée sexy, masturbation, etc. Vous pouvez déterminer si cela modifiera ce qui se passera lors de la prochaine séance.

Pour certaines personnes, l'intégration du BDSM dans leur routine quotidienne peut sembler trop difficile. Par exemple, il peut être difficile de s'accorder avec son côté soumis tout en essayant d'être un casse-couilles au travail. D'autres trouvent cela excitant. Encore une fois, établissez avec votre partenaire un calendrier indiquant les moments où cela vous convient à tous les deux.